Magna res est sapientia Marcus Tullius Cicero Aphorisme 1er siècle av. J.-C. République romaine (Italie actuelle) 0 0 0 0 Écrivez le premier commentaire Signification Cette phrase souligne la haute estime en laquelle est tenue la sagesse dans les contextes classiques et contemporains. Elle suggère que la sagesse est un attribut immensément précieux, offrant des conseils, des éclaircissements et une compréhension face aux complexités de la vie. La sagesse permet aux individus de prendre des décisions judicieuses, de mitiger les pièges et de naviguer dans les dynamiques sociales et personnelles complexes. Allégorie L'ancien érudit représente l'incarnation de la sagesse, juché au sommet de l'illumination. Le sommet de la montagne symbolise l'élévation que la sagesse peut apporter, élevant au-dessus des luttes mondaines. Le paysage en transition illustre le pouvoir transformateur de la sagesse pour naviguer de l'obscurité et de l'ignorance vers la clarté et la croissance. L'horizon lumineux signifie l'aube pleine d'espoir de la compréhension et des nouveaux commencements apportés par la sagesse. Le parchemin agit comme un répertoire de connaissances accumulées, éclairant littéralement et métaphoriquement le chemin à suivre. La chouette sert de symbole universel de la sagesse, et la rivière sinueuse reflète le voyage continuel et englobant de l'acquisition et de l'application des connaissances. Cette imagerie s'aligne de manière cohérente avec le thème vénérable de "La sagesse est une grande chose," encourageant la réflexion sur son importance intemporelle. Applicabilité Dans la vie personnelle, la phrase met en avant la recherche de connaissances et la réflexion approfondie. Appliquer ce principe peut mener à de meilleures prises de décision, à l'amélioration des relations et à la croissance personnelle. Dans les milieux professionnels, valoriser la sagesse encourage l'apprentissage continu, le mentorat et l'application de l'expérience pour résoudre des problèmes et innover efficacement. Impact L'impact de cette phrase transcende les frontières culturelles. Elle a inspiré d'innombrables individus et érudits à valoriser la sagesse et à la rechercher tout au long de leur vie. La littérature de sagesse, allant des textes anciens aux livres modernes de développement personnel, fait souvent écho à ce sentiment, soulignant la pertinence intemporelle de la valorisation de la sagesse. Contexte Historique L'origine de cette phrase remonte à la Rome antique, plus précisément à l'époque de Cicéron (106-43 av. J.-C.). Cicéron a vécu durant une période de troubles politiques, de transformations sociales et de floraison intellectuelle dans la République romaine. Ses œuvres reflètent souvent les valeurs philosophiques et les enjeux sociétaux de son temps. Critiques Les critiques de la phrase peuvent provenir de perspectives qui privilégient d'autres valeurs ou qualités, telles que la créativité ou la passion. Certains pourraient soutenir que valoriser excessivement la sagesse pourrait mener à la sur-analyse et à l'inaction. D'autres pourraient discuter de la nature subjective de la sagesse et se demander si elle conduit toujours aux meilleurs résultats. Variations Les variations et interprétations de cette phrase incluent son expression dans différentes langues et son adaptation dans divers textes culturels. Par exemple, dans la philosophie orientale, Confucius a mis en avant la sagesse dans la compréhension morale et l'harmonie sociale, ce qui s'aligne avec la valorisation de la sagesse dans la phrase. Retour à la description 280 caractères restants Envoyer le commentaire Aucun commentaire Mens sana in corpore sano. Juvénal Lire la suite Labor omnia vincit. Virgile Lire la suite Memento mori. Culture populaire Lire la suite Ex nihilo nihil. Parménide, Lucrèce Lire la suite Per aspera ad astra. Sénèque le Jeune Lire la suite In medias res. Horace Lire la suite Qui nescit tacere, nescit loqui. Cultures populaires Lire la suite Fortis Fortuna iuvat. Plaute, Virgile Lire la suite La gratitude n'est pas seulement la plus grande des vertus, mais la mère de toutes les autres. Marcus Tullius Cicéron Lire la suite Alea iacta est Jules César Lire la suite Audaces fortuna iuvat. Publius Vergilius Maro (Virgile) Lire la suite En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. Sign in with: or Sign in with your email address: Email Password Se connecter Loading... Nom Insérez votre nom ou pseudo (3 à 20 caractères). Email Insérez une adresse e-mail valide à vérifier. Password 8+ caractères, 1 majuscule, 1 minuscule, 1 chiffre, 1 caractère spécial @$!%*?_+ En cliquant sur le bouton d'inscription, vous recevrez un email de vérification. Créer un compte Nouveau ici ? Créez un compte. Précédent Fermer
La gratitude n'est pas seulement la plus grande des vertus, mais la mère de toutes les autres. Marcus Tullius Cicéron Lire la suite